Bike2Work 2016, c’est fini : mais ne rangez pas vos vélos !

Pour la 13^e édition suisse de Bike2Work, les 142 équipes du CERN ont parcouru l’équivalent de deux tours du monde.

Au mois de juin, les participants à Bike2Work 2016 ont pris leur vélo pour aller travailler sur le site de Meyrin du CERN. (Image : Sophia Bennett/CERN)

En juin, 142 équipes du CERN (un record !) ont bravé le mauvais temps et décroché la neuvième place de l’édition 2016 de la compétition suisse Bike2Work en terme de nombre d’équipes.

Près de 54 000 personnes travaillant dans plus de 1 700 entreprises et organisations ont participé à cette initiative nationale, qui a lieu tous les ans depuis 2004.

Le but est d’encourager les gens à mettre un casque et à enfourcher leur vélo pour aller travailler : un réflexe qui n’est pas seulement bon pour la santé, mais qui contribue aussi à désengorger la circulation.

Au total, les membres des équipes du CERN ont parcouru 97 091 kilomètres, et permis d’alléger de 15 tonnes le bilan carbone lié aux voitures.

Avec un taux de participation de 15 % au sein de son personnel, le CERN se classe troisième, dans la catégorie des entreprises comptant entre 1 000 et 5 000 collaborateurs.

L’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) et l’École polytechnique fédérale de Zurich (ETHZ) ont fait mieux avec 149 équipes pour l’EPFL qui ont pédalé deux mois durant, et 209 équipes pour l’ETHZ pendant un mois.

Mais les vainqueurs pour ce qui est du nombre de kilomètres cumulés sont les 67 équipes de l’Institut Paul Scherrer, qui ont parcouru 114 400 kilomètres entre mai et juin – une distance impressionnante.

Bike2Work est terminé pour cette année, mais ne remisez pas vos vélos pour autant : une nouvelle piste cyclable se construit entre les deux sites du CERN, et des douches supplémentaires sont en cours d’installation.

Alors, qu’attendez-vous ? Inscrivez-vous à « Bike To CERN » qui a lieu durant toute l’année et venez grossir les rangs de ceux et celles qui ont opté pour un moyen de transport meilleur pour la santé comme pour l'environnement.
 

par Kathryn Coldham