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Genève, le 23 mai 2011. Les trois expériences LHC qui étudient les collisions d’ions plomb ont présenté aujourd’hui leurs tout derniers résultats à l’occasion de la conférence annuelle Quark Matter, organisée cette année à Annecy (France). Ces résultats se fondent sur l'analyse des données recueillies au cours des deux dernières semaines de l'exploitation du LHC en 2010, suite au passage du mode protons au mode ions plomb. Toutes les expériences font état de mesures très fines, qui ouvrent à la physique des ions lourds une nouvelle ère d’études de haute précision.
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La semaine passée, j’ai été invité à m’exprimer devant Swisscore, le bureau de liaison suisse à Bruxelles pour la recherche, l’innovation et l’éducation en Europe. Sur le thème « Oser l’excellence », il m’a été demandé d’évoquer les défis qui attendent la Commission européenne avec le 8e programme-cadre.
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Alors que le LHC avait atteint une luminosité d’environ 8,4 x 1032 cm-2 s-1 avec 768 paquets par faisceau, une phase dite de développement machine a débuté le mercredi 4 mai, pour une durée de cinq jours. Les opérateurs s’attellent désormais à augmenter le nombre de paquets de particules dans la machine, en vue de parvenir, dans l’année, à un maximum de 1 380 paquets. Et ils sont sur la bonne voie : le lundi 23 mai, un nouveau record de luminosité de crête a déjà été atteint.
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Le LHC étant à nouveau pleinement opérationnel, certains imaginent peut-être que les physiciens attendent à présent que le boson de Higgs fasse son apparition dans l’une des quatre expériences pour publier un article et passer au grand mystère suivant. Cette représentation est bien différente de la réalité actuelle de la physique expérimentale des particules, où les résultats s'appuient sur des statistiques, des statistiques et toujours plus de statistiques.
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« Comment la vie est-elle apparue sur Terre ? » Cette question non résolue a fait l’objet d’un atelier d’une journée organisé au CERN le 20 mai, lors duquel sont intervenus des spécialistes de la biologie et des physiciens du CERN. À l’issue de la rencontre, le mystère restait entier, mais le groupe a en revanche étudié la possibilité de mettre en place un projet de recherche à grande échelle pour se pencher sur le sujet.
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Le premier atelier sur le thème de La physique au service de la santé a été organisé au CERN, en février 2010. Il a brillamment démontré le très grand potentiel des accélérateurs et détecteurs de particules comme instruments pouvant servir au diagnostic précoce et au traitement efficace de tumeurs. Les participants avaient alors émis le souhait que le CERN prenne part à trois projets novateurs. Un an plus tard, l’heure est venue de faire le point sur ces missions et de préparer une nouvelle conférence, qui se déroulera à Genève, en février 2012.
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La contribution du CERN à la recherche sur l’antimatière est jalonnée d’avancées importantes : création des tout premiers antiatomes en 1995, production en 2002 de grandes quantités de ces antiatomes, puis invention en 2010 de la technique permettant de les « geler » pour permettre une étude précise de leurs propriétés. Cette semaine, les expériences sur l’antimatière sont prêtes à démarrer, pour une nouvelle campagne très prometteuse.
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Antimatière, matière noire, énergie sombre, nature de l’espace et du temps… George Smoot, prix Nobel de physique, revient sur sa carrière avec Paola Catapano et évoque pour elle les nombreux aspects de l’Univers qui restent des mystères.
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Depuis le 8 mai dernier, une mini-exposition du CERN est installée à l’Université de Budapest. Plus petite que la grande exposition itinérante du CERN, la mini-exposition ne manque pas pour autant d’importants atouts : grâce à sa taille réduite, elle pourra être plus facilement transportée et accueillie par les pays membres. De plus, il sera possible de mettre à jour son contenu presque instantanément et, dans le futur, elle sera de plus en plus interactive et high-tech.
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La phase préparatoire du projet TIARA (Test Infrastructure and Accelerator Research Area) a débuté. Depuis le mois de janvier, et pour une durée de trois ans, les membres de onze centres de recherches de huit pays européens collaborent dans le but d’amplifier, d'optimiser et de structurer la recherche et le développement dans le domaine des sciences et technologies des accélérateurs de particules en Europe.
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L’équipe HIE-ISOLDE se prépare à voir arriver de nouveaux visages, avec la mise en place d’un nouveau projet financé par l'UE dans le cadre du FP7 : CATHI (Cryogenics, Accelerators and Targets for HIE-ISOLDE). Le coup d’envoi de ce projet, qui amènera des chercheurs du monde entier à venir se former au CERN, aura lieu le 23 mai.
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Un multi-détecteur À travers le projet ET, l’objectif est de construire un observatoire qui puisse surmonter les limites des détecteurs actuels en combinant plusieurs détecteurs GW. Dans la pratique, trois détecteurs seront intégrés, chacun étant composé de deux interféromètres constitués de « bras » de 10 km de long. Un des deux interféromètres détectera les signaux produits par les ondes gravitationnelles de basse fréquence (de 2 à 40 Hz), tandis que l’autre enregistrera les composantes haute fréquence. La configuration est telle qu’elle permettra à l’observatoire d’évoluer par améliorations successives ou remplacement de composants (notamment les composants qui bénéficieront de développements futurs en interférométrie), tout en répondant à une variété d’objectifs scientifiques. La dimension européenne La Commission européenne soutient l'étude de conception dans le cadre de son septième programme-cadre (7e PC - Capacités) via un financement de trois millions d’euros. « Avec cette subvention, la Commission européenne reconnaît l’importance de la science des ondes gravitationnelles telle que développée en Europe ainsi que son importance pour la recherche fondamentale et technologique. Elle fournit un cadre commun aux scientifiques européens qui travaillent dans le domaine des ondes gravitationnelles et permettra une avancée significative dans l’exploration de l’Univers à travers cet instrument novateur », explique Federico Ferrini, directeur de l’Observatoire gravitationnel européen (EGO) et coordinateur du projet d'étude de conception pour le Télescope Einstein. ET est l'un des sept projets européens soutenus par le réseau ASPERA pour le développement de la physique des astroparticules en Europe. Ce détecteur deviendra une infrastructure de recherche européenne essentielle et un fer de lance pour le développement de l’espace européen de la recherche. Plus d’informations, d'images et de vidéos ici. Contact presse pour l’Italie : Antonella Varaschin INFN - Istituto Nazionale di Fisica Nucleare Ufficio per la Comunicazione email: antonella.varaschin@presid.infn.it Tél. + 39 066868162 Contact presse pour la France : Marsollier Arnaud email : amarsollier@admin.in2p3.fr Tél. + 33 1 44 96 40 35 / + 41 76 487 2769 Contact presse pour les Pays-Bas : Melissa van der Sande email : sandem@nikhef.nl Tél. + 31 20 592 5075 Contact presse pour l’Allemagne et le Royaume-Uni : Susanne Milde email : milde@mildemarketing.de Tél. + 49 331 583 93 55 Liste des experts : France Allemagne Raffaele Flaminio Karsten Danzmann Benoit Mours Harald Lück Italie Pays-Bas Federico Ferrini Jo van den Brand Michele Punturo Chris Van Den Broeck Fulvio Ricci David Rabeling Royaume-Uni Andreas Freise Stefan Hild Sheila Rowan B. Sathyaprakash NOTES
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Après un travail de longue haleine de la part de 56 instituts internationaux, dont le CERN, la navette spatiale Endeavour a été lancée en direction de la Station Spatiale Internationale (ISS) avec à son bord le Spectromètre Magnétique Alpha (AMS).
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Dans le dernier numéro du Bulletin, nous avons discuté des dernières implications pour la vie privée sur internet. Mais la confidentialité des données personnelles n'est qu'une facette de la protection des données. La confidentialité en est une autre. Cependant, la confidentialité et la protection des données sont souvent perçues comme n'étant pas pertinentes dans le milieu académique du CERN.
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ACM (Association for Computing Machinery) est la plus importante organisation soutenant la recherche et l'innovation informatique au monde. ACM publie, entre autres, la plus grande bibliothèque numérique dans ce domaine et offre à ses membres et à la communauté des publications à la pointe de la discipline, des conférences et des outils pour l'emploi.
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